Dans un monde professionnel de plus en plus soucieux du bien-être au travail et de la performance durable, la qualité de l’air intérieur (QAI) des bureaux s’impose comme un enjeu stratégique. Pourtant, dans les bâtiments tertiaires, la pollution de l’air intérieur reste un risque sanitaire invisible, souvent mal détecté et insuffisamment maîtrisé.

À l’heure où les normes environnementales se renforcent et où les collaborateurs exigent des conditions de travail plus saines, surveiller et améliorer la qualité de l’air intérieur au bureau n’est plus une option.

Selon l’Observatoire de la Qualité de l’Air Intérieur (OQAI), l’air intérieur est jusqu’à 5 à 8 fois plus pollué que l’air extérieur dans certains immeubles tertiaires. Cette pollution est due à l’accumulation de plusieurs familles de polluants :

  • CO₂ : un indicateur clé de ventilation

Le dioxyde de carbone (CO₂) est produit naturellement par la respiration humaine. Dans un bureau mal ventilé ou en open space sur-occupé, il peut rapidement dépasser les seuils recommandés (> 1 000 ppm) et provoquer de la somnolence et de la perte de concentration chez les salariés.

  • COV : des composés invisibles mais nocifs

Les composés organiques volatils (COV) sont émis par les matériaux (peintures, colles, moquettes, mobilier), les produits d’entretien et certains équipements électroniques. Les COV est plus courants sont le formaldéhyde (cancérogène probable), le benzène, le toluène ou encore le xylène. L’exposition chronique à ces éléments peut entraîner des troubles respiratoires, des irritations oculaires, des maux de tête, voire des pathologies plus graves.

  • Particules fines (PM1, PM2.5, PM10)

Les particules en suspension proviennent de la pollution extérieure, du matériel informatique ou encore de l’activité humaine. Elles pénètrent profondément dans les voies respiratoires et sont associées à des maladies cardiovasculaires et pulmonaires.

  • Autres facteurs : température, humidité, moisissures

Un déséquilibre thermique ou hygrométrique peut favoriser l’apparition de moisissures, altérer le confort et affecter la santé des occupants. Une humidité relative trop basse (< 30 %) ou trop élevée (> 70 %) est également défavorable à la QAI.

Les conséquences d’une mauvaise qualité de l’air dans les bureaux sont multiples, tant sur la santé que sur la performance :

  • Symptômes aigus : maux de tête, fatigue, irritations, troubles de la concentration
  • Absentéisme accru lié aux allergies et troubles respiratoires
  • Baisse de productivité estimée entre 5 % et 10 % selon Harvard T.H. Chan School of Public Health 
  • Insatisfaction des collaborateurs et augmentation du turnover
  • Non-conformité réglementaire (en cas de contrôle dans les ERP ou HQE)

Pourquoi la simple ventilation ne suffit plus

La majorité des bâtiments tertiaires utilisent des systèmes de ventilation mécanique contrôlée (VMC), parfois couplés à un système de soufflage. Mais en l’absence de données terrain, ces systèmes fonctionnent à l’aveugle : trop peu ou trop fort, aux mauvais moments.  La surveillance intelligente en temps réel permet alors de pallier le manque de suivi de la performance énergétique des installations de ventilation et d’améliorer la qualité de l’air intérieur des bureaux.

Zaack a développé une solution complète de surveillance de la qualité de l’air intérieur qui répond également aux problématiques rencontrées dans les immeubles de bureaux :

Nos capteurs Zaack® mesurent en continu les principaux indicateurs :

  • CO₂ (NDIR), PM1 / PM2.5 / PM10 (capteurs optiques laser)
  • COV totaux (TVOC)
  • Température, humidité, pression atmosphérique
  • Indice de confort thermique

Les appareils sont discrets, connectés en Wi-Fi ou LoRa, avec une autonomie longue durée et des données consultables en temps réel.

Une plateforme centralisée de pilotage de l’air des bureaux

Tous les capteurs remontent vers une plateforme cloud intuitive qui permet de :

  • Identifier les tendances de pollution propres à chaque bâtiment
  • Visualiser les valeurs seuils d’information et d’alertes, règlementaires ou définies par le client
  • Exporter vos données à partir de la plateforme sécurisée Google Cloud
  • Prédire la qualité de l’air intérieur
  • Assurer la corrélation entre les paramètres de l’air extérieur et intérieur

Des recommandations actionnables pour améliorer durablement votre environnement de travail

Au-delà de la simple mesure, Zaack vous accompagne dans la mise en œuvre d’actions concrètes basées sur l’analyse des données collectées. Nos experts vous aident à ajuster les débits de ventilation en fonction de l’occupation réelle des espaces, à identifier les zones à réaménager pour éviter les concentrations de polluants, à sensibiliser vos équipes avec des données objectives et pédagogiques, et à réduire votre empreinte carbone en optimisant l’aération et la consommation énergétique des systèmes HVAC. Chaque recommandation est personnalisée selon les spécificités de votre bâtiment et de vos usages.

Une démarche conforme aux exigences QHSE, RSE et bien-être

La solution Zaack s’intègre pleinement dans les stratégies QHSE, RSE et de qualité de vie au travail. Elle traduit un engagement clair en faveur de la santé et du bien-être des collaborateurs, tout en apportant une amélioration mesurable du confort perçu dans les espaces de travail. En parallèle, notre plateforme facilite un reporting environnemental structuré, conforme aux attentes des démarches ESG et aux obligations CSRD. Enfin, l’ensemble du dispositif contribue à valoriser vos projets de certification environnementale tels que HQE, BREEAM ou WELL, en répondant aux exigences de surveillance et de pilotage de la qualité de l’air.

Vous êtes responsable QHSE, directeur immobilier, facility manager ou en charge d’un parc de bureaux ? Ne laissez pas la qualité de l’air à l’intuition. Zaack propose un audit initial et une démonstration de ses capteurs et de sa plateforme.

Remplissez notre formulaire de contact pour planifier un diagnostic de l’air de vos bureaux.